10 bonnes pratiques pour améliorer la culture sécurité au travail

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Comment améliorer la culture sécurité en entreprise ?

La sécurité au travail va bien au-delà d'une simple obligation légale pour l'employeur, car elle revêt un caractère stratégique majeur pour l'entreprise. Il est impératif d'intégrer la santé et la sécurité dans une vision globale, impliquant l'ensemble du personnel à tous les niveaux de l'organisation.

Cependant, il peut s'avérer difficile d'engager les collaborateurs de manière continue dans une approche de sécurité sans les désintéresser.

Notre guide pratique propose dix bonnes pratiques pour favoriser le développement d'une véritable culture de santé et de sécurité au sein de votre entreprise, en engageant les salariés de manière ludique et préventive.

Dans ce guide pratique, vous trouverez :

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Extraits de notre guide pratique culture sécurité

“Les briefings quotidiens peuvent faire partie intégrante de votre standard de santé et sécurité au travail. Ils se font tous les jours, dès l’arrivée des travailleurs, avant leur prise de poste. Ils peuvent être menés par les managers de proximité, qui doivent entraîner leurs équipes dans un état d’esprit de prudence et de performance, mais aussi fédérer autour d’une démarche préventive. Pour cela, la qualité de la communication est une condition incontournable d’un briefing réussi.”

“Pour motiver les salariés, rien de tel que de rendre la sécurité ludique. Pour cela, faites marcher votre imagination : imaginez des challenges qui récompensent les comportements positifs. Ces challenges sécurité représentent un levier intéressant pour booster votre démarche de prévention. Ils favorisent la participation, l’adhésion, améliorent le taux d’apprentissage et réduisent ainsi les accidents du travail.”

“Les salariés aussi doivent pouvoir faire des feedbacks sur leurs conditions de travail et proposer des améliorations. Vous pouvez par exemple, mettre en place une boîte à idées, où chacun pourrait y inscrire des idées d’amélioration des conditions de travail, de manière anonyme. Le salarié devient contributeur-acteur de son travail et non plus simple spectateur impuissant.”